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Contrats industriels
(nationaux, européens et
Mots clés : Conception de réseaux, structure des réseaux, .
Le problème (voir section 4.4 pour son énoncé) a été posé par la société Alcatel Space Industries. Les résultats ont été obtenus dans le cadre du programme Télécoms du CNRS et d'un contrat avec Alcatel Space Industries de septembre 97 à août 98 qui a servi principalement à co-financer avec l'INRIA le Post-Doctorat Industriel d'Eric Darrot. Ce contrat a été reconduit en 98-99. Le problème a aussi fait l'objet du stage de David Tòth.
Nous avons quasiment résolu le problème général ;
pour k 4, nous avons déterminé
exactement le nombre minimum de commutateurs (
pour k = 4, par
exemple) et pour k = 6, 8, 10et 12, nous avons
déterminé des bornes fines (ordre asymptotique et valeurs exactes
pour les cas utiles en pratique). Notre approche, fondée sur la
définition de notions combinatoires appropriées, est duale,
puisque nous avons, d'une part, proposé des constructions
effectives et, d'autre part, démontré que de meilleurs réseaux
n'existent pas. À titre d'exemple, pour le satellite
ASTRA 1K, nous avons proposé une version
économisant 50 commutateurs sur un total de 246. Le
problème, ainsi qu'un résumé des résultats, ont été présentés
dans [[55]]. Le rapport
de stage de D. Tóth [[63]]
y est aussi consacré. Plusieurs publications vont être soumises
une fois la confidentialité levée [PTa,PTb].
Nous avons aussi considéré le problème où chaque signal doit être envoyé vers un amplificateur spécifique, ce qui est possible si l'on sait réaliser toute permutation des entrées sur les sorties. Dans ce cas, nous considérons le blocage des commutateurs. Dans le cas de blocages, nous avons obtenu des résultats partiels très prometteurs [BD], qui ont donné lieu au dépôt d'un brevet (voir section 5.5). D'autres brevets doivent être déposés.
Enfin, nous avons aussi effectué des développements logiciels (Cf. 5.5) permettant de valider ces réseaux, de visualiser le routage à effectuer pour une configuration de pannes donnée, etc.
Mots clés : Communications mobiles, relais, économies d'énergie .
(Voir section 4.5)
Nous avons trouvé un nouveau protocole de réservation garantissant le passage de relais vers le sud. Un satellite à orbite basse ne peut prendre en charge un utilisateur que pendant une dizaine de minutes. Lorsque ce temps est écoulé, un autre satellite doit prendre le relais et trouver une nouvelle route pour la communication. Pour une constellation polaire, trois types de passage de relais peuvent intervenir :
Nous avons étudié le parallélisme en tant que méthode d'économie d'énergie pour les terminaux mobiles ou les systèmes embarqués. Nous avons montré que les gains attendus sont considérables. Cependant, des contraintes naturelles apparaissent lors de la mise en oeuvre de cette idée à grande échelle. Nous avons proposé un modèle simple de prise en compte de ces limitations, en raisonnant soit en espace (i.e. taille totale des circuits intégrés) limité, soit en poids limité, en incluant alors le poids des sources d'énergie. Ces modèles se traduisent naturellement en de nouveaux problèmes d'optimisation. Nous avons considéré aussi les questions de tolérance aux pannes et leurs réponses dans en environnement de type satellite [[45]].
Mots clés : Réseaux ATM, SDH, WDM .
(Voir section 4.6)
Dans [[37],[38]], nous avons déterminé les topologies logiques optimales pour un réseau ATM devant supporter des communications uniformes. Des extensions de ce travail portant sur les relations existant entre la congestion dans une topologie logique de diamètre D et celle d'une topologie de diamètre D' sont en cours.
Jusqu'à présent, nous avons surtout obtenu des résultats dans le cas statique («off-line») où l'on suppose connue à l'avance la famille I (Cf. la synthèse [[2]]) ; mais nous étudions le cas dynamique («on-line») dans le cadre d'une coopération franco-israëlienne. D'autre part, l'étude de schémas de communications irréguliers (sur des topologies simples comme les anneaux ou multi-anneaux) est en cours. Le problème de l'échange total sur le tore de dimension k a été résolu [[36],[17]]. Nous avons aussi généralisé le résultat concernant l'échange total dans les circuits et les arbres au cas des arbres de cycles [BTP]. Un groupe de travail dont l'objet est l'étude des problèmes d'optimisation posés par WDM et l'interopérabilité de la SDH et de WDM a été créé.
Mots clés : Opto-électronique, OPS, OTIS .
(Voir section 4.7) Dans [[40]], nous avons développé un nouveau réseau d'interconnexion optique appelé stack-Kautz, pour lequel nous donnons des protocoles de contrôle, un algorithme de routage, un algorithme optimal de diffusion et des résultats de simulation. Dans [CFM], nous avons, entre autres, proposé une implantation optique des stack-Kautz utilisant l'architecture OTIS (Optical Transpose Interconnecting System) laquelle consiste en deux plans de lentilles, séparés par un espace d'interconnexion optique libre, connectant N groupes de M émetteurs optiques à Mgroupes de N récepteurs, selon une topologie de graphe biparti complet.
Mots clés : Modèle BSP, modèle CGM, algorithmique parallèle, communications, grappes de PC .
(Voir sections 3.3.4, 3.3.5, et 4.8)
Dans [[27]], nous avons
déterminé le coût de l'échange d'informations entre voisins sur
l'hypercube. L'algorithme que nous proposons permet aussi de
simuler une machine -ports sur une machine
1-port.
Dans [GPPV], nous posons le problème de la diffusion d'information dans un réseau inconnu et proposons des solutions. Ce travail se poursuit par l'étude des protocoles d'attribution de noms dans un réseau inconnu.